Huit
--> Histoire de...
Comme promis, à peine la porte refermée, je me suis jetée à tes pieds. Accrochée à ta taille j'ai déboutonné ton jeans, ecarté ton caleçon et englouti ton sexe. Logé au fond de ma bouche je l'ai aspiré, suçoté afin de le sentir grandir. Le petit miracle se produisit, plus ja bavouillais, plus il se gonflait, s'echappant petit à petit de ma bouche. Tu étais visiblement ravi.Je sentais tes mains s'enroulant dans mes cheveux, tes doigts sur mon crâne n'osant imprimer le mouvement. Je levai les yeux plusieurs fois vers toi, m'amusai de ton regard clair, de son eclat particulier, de ton air presque perdu. Un tel effet par un si petit bout de chair...Juste par ma langue qui s'enroule et se déroule autours du bout de ton sexe gonflé. Je t'arrache des soupirs étouffés qui me poussent à m'appliquer. Je lèche avec ardeur, t'offrant la vue plongeante de ma langue se promenant le long de ton intimité.J'alterne succions et longues aspirations, actions concentrées et amples mouvements. Mes mains enserrent ce que ma bouche ne peut avaler, accompagnant les mouvements de mon crâne. Je m'arrête un instant, le temps de nous installer sur le sol, de nous débarasser de quelques vêtements. Je m'installe a coté de toi, prête à reprendre mon travail de fourmi : te promener à mon rythme sur les berges de ton plaisir. Pas de précipitation malgré tes encouragements. Ta main flatte mes fesses, les empoignent bien malgré toi. Au delà du plaisir procuré, cette main est un excellent indicateur de ce que tu préfère. Et tu préfères que je m'occupe de ton gland, plutot que de tes bourses. Je vois ton ventre se soulever à un rythme saccadé. Je peux même le garder soulevé si je leche très doucement et très rapidement le bout de ton gland. Je l'engloutis, le mouille, me visse autours, avant de laisser mes doigts l'enrouler. Je le pose dans le creux de ma main, imprime un mouvement de va et vient arrondi. Toute la salive que je viens d'y deposer simplifie les choses. Je sens tes mains me pétrir en rythme, s'agripper à mes fesses moelleuses.J'en profite pour aller lecher la base de ton sexe, l'endroit où il disparait dans tes chairs, juste derrière les bourses. Quand mes mains ont seché, je décide de te donner le coup de grâce. Ce sera rapide, je t'ai assez fait languir. Je t'engloutis une dernière fois pour t'offrir un dernier galop. En un mouvement de pompe qui s'accélère, je te sens grandir, grossir, battre entre mes lèvres. Je vois tes paupières battres, tes mâchoires se serrer, ton regard se vider... j'entends ta respiration, presque rauque, saccadée. Et tu t'abandonne... Enfin...
Ecrit par Miss-Chloe, le Jeudi 25 Mars 2004, 17:51 dans la rubrique "Textes".
Commentaires
ptit-ange
25-03-04 à 19:28
ton article est tres bien ecri !! j'imagine bien les images dans ma tete !! et puis les details et tout enfin c parfait !! et sans mots vulguere !! ca rend l'acte beaucoup plus beau et plus sensuel !!
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Jonathan Livingstone
26-03-04 à 09:15
L'amour du geste et du plaisir bien fait transpire au travers de tes mots. C'est enflammé qu'on arrive avec peine au bout de ton écrit. Le plaisir donné est un plaisir reçu. Nombreux je le souhaite sont ceux qui par toi peut-être le comprendrons.
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Découverte
eros
31-03-04 à 16:03
Chère chloe je te découvre pour la première fois et quel joie de te lire.
Car la littérature érotique ma toujours passionné et sache que ton joueb sera suivi avec attention.
Et si part hasard tu aime ou qu'un ou une de tes lecteurs lectrices sont intéressé par une autre vision de l'érotisme je leur recommande les oeuvres de Georges Bataille et du Marquis DE SADE.
Si un jour j'ai tu temps je te ferai parvenir quelles poèmes.
Sur ce je te laisse biz.
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poup
04-04-04 à 21:46
Qu'il est bon d'être femme.....
J'ai eu chaud en te lisant.
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Miss-Chloe
05-04-04 à 17:00
Merci à vous pour vos commentaires :)
A bientôt j'espère.
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valandraa
13-04-04 à 15:58
Oulala, j'en tremble encore... ma culotte est humide....
Bises, Val A.
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Lol
Anonyme
29-05-04 à 12:17
Tu devrais publier ;-)
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