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L'alcôve et l'abricot.

Mes agapes, mes casse-croutes, mes fantasmes.

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La première fois

Hello!

j'inaugure la rubrique en lancant le premier débat ( s'il vous plait ramenez du monde: je m'ennuie) :

Alors cette première fois... a quel age et surtout avec ou sans amour?

Je sais je commence soft... mais bon.

A vous!

Ecrit par Miss-Chloe, le Lundi 12 Janvier 2004, 22:49 dans la rubrique "Questions-débats".

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Commentaires

Ezekiel

Ezekiel

12-01-04 à 23:47

A 19 ans... est-ce trop tard...?   la veille je jure que oui... le lendemain je jure que non... l'amour été débordant, au moins autant que le désir, de part et d'autre... l'expérience malgré sa jeunesse... mon ignorance malgré 4 années de plus qu'elle... rien ne me permettait de croire à la magie, tout était peur, doute, questions... la crainte précède les regards amoureux et rassurants... la tendresse précède le déchaînement du désir... le plaisir monte et se fait connaître là où il n'est jamais passé de la sorte... l'inconnu précède la découverte... les caresses prédisent les contacts interdits... le frisson laisse place à la chaleur... la timidité fond devant l'évidence: nous faisons l'amour...   le temps si long jusqu'alors n'est plus perceptible... le mélange est parfait... l'assencion est partagée, intensément partagée... jusqu'où irons nous tout les deux...?   le plaisir précède le vide de nos pensées, le plein de nos sensations...  l'explosion est puissante de part et d'autre... les regards se croisent... les souffles se mêlent... les battements de coeur se ralentissent... l'amour est là... il est partout, dans la moindre goutte de sueur, la moindre étoile du regard, la moindre caresse... ça yest, nous le savons... nous avons fait l'amour et recommencerons six fois, comme pour atteindre le chiffre mythique... ce fameux ciel que l'on à touché du bout des doigts... ma première fois...

Ezekiel Rosario.


Re:

Vendredi

Vendredi

09-02-04 à 21:10

C'est beau, Eze...


Miss-Chloe

Miss-Chloe

14-01-04 à 02:02

Merci pour ta participation :)

En tout cas on sent que c'etait une expérience importante pour toi.


la première ......

poup

poup

14-01-04 à 19:24

J'étais folle amoureuse du type.
Il essayait avec une certaine assiduité de me convaincre de passer à l'acte.....en m'expliquant avec beaucoup de tact que "si tu roules avec une voiture que tu aimes bien, tu as envie de la débrider pour qu'elle roule encore plus vite." Si, si,si.......
Il a fini par m'emmener dans un hotel sordide......où j'ai pensé à mes copines de l'époque en m'accrochant à l'oreiller......Ça a été assez horrible en fait.....;)
LOL
J'avais 17 ans.
Ça me fait toujours bien rire de passer devant cet hotel .....


sordide

jalouse

jalouse

22-01-04 à 19:08

15 ans - complètement décapée à l'alcool - debout sur un grillage - avec un pov' type -

no comment ;)


chiara

chiara

25-01-04 à 02:10

... c est récent ;o)

... donc 15 ans 1/2, avec de l amour, plein d amour ... instant magique entre 2 filles amoureuses ... que dire de plus ? ...


Re:

Miss-Chloe

Miss-Chloe

29-01-04 à 10:03

Merci de votre commentaire Jalouse et Chiara.


Un peu a la boure mais je laisse ma trace quand meme...

Milouchkaniech

Milouchkaniech

29-01-04 à 11:20

Ma premiere fois c'était cet été (et oui tout récent!) a 15 ans, 2 mois et 3jours...


Un moment unique, partagé avec mon homme actuel, un moment remplis, d'amour, mais surtout de désir...
Un désir, tellement fort, que je lui ai sauté dessus! Ce n'était pas sa premiere fois, moi oui et pourtant c'est moi qui ai pris les devants! Le souvenirs, de ses mains sur mon corps, parcourant délicatement et tendrement mes seins, mon ventre et tout le reste me boulverse encore, durant cette nuit, qui était assé chaude pour la saison (pas de mauvais jeu de mots, je vous assure!), je me souviendrais toujours du regard qu'il avait quand il me regardait, il était attentif a mes réactions, voulais savoir si je me sentait réellement prette, si j'étais sure de ma décision, une fois lancé, une fois que nos corps ne firent plus qu'un c'était le bohneur, la plénitude totale, le NIRVANAAAAAAAAAAA!(non quand meme pas mais franchement c'était royal!), en plus pour pimenter un peu la situation, nous étions tout les deux dans mon lit (vaux mieu!) mes parents étaient dans la chambre mitoyenne a la mienne et venaient a peine de se coucher, mon pitit chéri lui était censé dormir dans la chambre de mon frere juste en face de la mienne! Il y avait un clima de danger qui nous donnai encore plus envi!!! Enfin bref pour résumer ma premiere fois, 15 ans 2 mois et 3 jour, le 21 juin, le jour de l'été, avec l'homme que j'aime, nous deux attentifs l'un a l'autre, super éxcité mais surtout super amoureux!
P.S: C'est quoi ce vieux mythe du "oui la premiere fois ça fait mal????" C'est pas vrai!!! Ca ne fait pas forcément mal la premiere fois!


Re: Un peu a la boure mais je laisse ma trace quand meme...

Miss-Chloe

Miss-Chloe

23-03-04 à 10:36

Merci de ton passage et de ce moment que tu nous fait partager :)
Alors non ca ne fait pas forcément mal la première fois. Ca PEUT faire mal, nuance. Tu as reçu ce genre d'avis de la part de gens autours de toi?

Biz.


Re: Re: Un peu a la boure mais je laisse ma trace quand meme...

Milouchkaniech

Milouchkaniech

23-03-04 à 10:39

Apparement je suis la seule dans mon entourage qui n'ai pas eu mal... soit je suis une privilégiée soit ben je vois pas d'explication!!! Menfin pour toutes celles qui m'en ont parlé c'était magique meme dans la douleur!


ptit-ange

ptit-ange

24-03-04 à 18:24

moi ma premiere fois date de l'année 2000, j'avais 15 ans et demi  et c'etait avec un mec que j'avais rencontré pendant cet ete la !! j'etais trop amoureuse de lui et lui me fesait rever comme jamais. il est venu une semiane chez moi en fin juillet et ma mere etait dans la chambre d'a coté, ma chambre n'avait pas de verrou !! enfin le truc trop risqué !! il connaissait deja mon corp et inversement donc c'etait assez symple dans le sens ou il n'y avait pas vraiment de complexe. tout est venu un soir, j'y pensais depuis plusieurs jours, j'avais envie de lui. et ce soir la je lui ai clairement fais comprendre que j'etais prete. tout etait magique. enfin tout a par la douleur. c'etait affreux. j'avais trop trop mal. mais c'etait quand meme excellent et plein de tendresse et d'amour aussi !! c'est un tres bon souvenir !!


Re:

ptitjulien03

ptitjulien03

27-03-04 à 13:11

Moi c'etait y'a ppas trop lgpts de ça ;o) j'avais 17ans presque 18ans ! C'etait magnifique !


La 1e fois

Anonyme

29-05-04 à 14:35

Waw ça fait un bout de temps
J'avais 17 ans et c'était avec une fille que j'avais rencontré à Logne dans un campement médiéval.

C'était par une jourée très chaude lors de la troisième semaine de juillet de l'été 1999.

Vendredi.

Nous venions d'arriver. Derrière moi un camion blanc et bleu contenait toutes nos affaires, tentes, armes, accessoires de campement, sur la droite Orcus, un homme de petite stature mais avec des yeux pétillants de force et de vigeur vociférait à un autre, plus petit qu'il ne travaillerait pas dans ces conditions. Nous avions déjà déchargé plus de la moitié du matériel et nous nous dirigions vers le bac de Jup car il faisait un chaleur torride quand tout à coup face à moi se dressait une vision angélique : cinq tentes blanches se dressaient devant moi en forme de cercle autour duquel de multiples bouleaux en faisait une petite clairière illuminée, Là j'eu une vision que je n'oublierai jamais de ma vie.
J'ai tout de suite eu le coup de foudre qui m'a pétrifié pour au moins vingt longues secondes. Elle était là avec sa longue chevelure rousse en train de planter des piquets de tente dans une tenue très ample mauve. Elle avait un visage très fin avec de grands yeux noisettes. Elle avait de larges hanches, une poitrine bien fournie mais une taille fine enserrée par une petite ceinture de cuir. Elle portait de multitudes de bracelets argentés qui étincellaient au loin. Quand elle se retourna vers nous elle adressa un petit sourire comme pour acueillir les nouveaux venus et repris sa besogne. Dans l'ensemble elle virevoltait délicatement avec légèreté d'un piquet à l'autre. Comme je voyais qu'il en restait beaucoup, mes jambes prirent le pas pour me diriger vers elle. Mais mon cerveau fit mieux : je pris quelques piquets et je me suis mis à l'opposé de la tente qu'elle était en train de monter pour que nous nous rencontrions sur des piquets voisins. J'avais le moins bon costume du campement étant donné que j'étais nouveau dans la troupe de Namur, ce qui me rendait, en plus de ma jeunesse, peu prompt à faire bonne impression. Mais cela ne m'avait pas effleuré l'esprit et j'entrepris de placer une ou deux petites réflexions. Je ne me rappelle plus de ce que je lui ai dit mais tout ce dont je me rappelle est qu'elle m'envoûtait, et que je la trouvais d'un charme fou, et qu'elle se prénomait Florence.
Nous avons passé la soirée a dictuter de psychanalyse car c'est ce qu'elle faisait comme études (enfin la psychologie). Elle était française, venait de Paris, ce qui la rendait encore plus exotique à mes yeux. Je me rappelle dans mon immense jeunesse avoir guetté jusqu'à la fin car je savais qu'elle était venue avec son ancien compagnon, l'homme responsable de l'intendance, sans qui nous n'aurions pas eu de si succulents repas.

Samedi.

Le jour suivant nous avons joué devant le public, le spectacle était digne d'une représentation théâtrale. Combats acharnés, flagellations publiques, discours moyennageuse : le public, venu par milliers (2500 sur le we) était ravi et nous a applaudi avec un grande ferveur. Nous avons continué à faire plus ample connaissance autour du feu. Ses cheveux roux-auburn se reflétaient dans leu feu telle une braise incandescent. Ses yeux brillaient d'un éclat intense quand elle parlait de psychanalyse, de troubles névrotiques, psychotiques. Moi je n'étais qu'au début de mes études, je gobais ses paroles gouluement et je ne pouvais me dissimuler la passion qui montait en moi malgré que je tentais de rester de marbre devant elle.

Dimanche.

C'est le dimanche que c'est réellement révélé une grande occasion! En effet, une bataille avait déjà eu lieu et nous attendions nos ennemis derrière un rocher. J'étais suant comme une bête assoiffée sous un T-shirt, un manteau de cuir, une cote mailles et un armure de plaques. Bref, par 42°degré à l'ombre habillé avec 50Kg de tissus et de métal sur le dos je me suis assis, haletant, pour me remettre de la bataille précédente et pour me préparer à la prochaine. Elle était là et nous étions en compagnie d'une petite fille, qui se prénommait Marie qui était en fait la fille des organisateurs de l'évènement. Manifestement elle m'aimait bien et voulait s'asseoir sur mes genoux. Florence quant à elle était debout à côté de moi. Je pris la petite sur mes genoux en y invitant Florence également. Elle accepta et nous disctutâmes de choses et d'autres tout en reganrdant au loin. Je lui proposai de venir à Namur pour visiter. Elle accepta!
Un feu d'artifice hormonal et cérabral venait d'éclater, je pris un plaisir intense, j'étais ailleurs, je pouvais désormai combattre n'importe qui, soulever des montagnes détourner des rivières, tout ceci se manifesta par un petit sourire désinvolte de ma part. Je repris mon épée, serrai la garde, et je les saluai, rejoigant mes compagnons d'armes. Je me battis comme un chef. Je rugissait avec la passion du lion. Certaines personnes du public criaient des "Oh et de Ah" en me voyant me battre avec un tel acharnement. Quand je fus épuisai je me jetai sur un adversaire, lachai mon épée et commencai une bataille avec les points. Une ribeaude m'égorgea traitreusement. Je mourrais en prince. J'étais là sur le champ de bataille, haletant, suant, content d'être mort et attendant une cruche remplie d'eau ou de vin. Une ribeaude s'approchea, me demandat si tour allait bien. Mon sang se dirigeait principalement vers ma tête car je n'avais pas pris garde quant à ma position de mourrant, j'étais étalé sur le chemin qui menait au pont levis. Mes veines battaient dans mes tempes. Je demandais à boire, elle s'abaissat, me désolidarisa de mon casque et m'offrit à boire de sa cruche remplie d'eau fraîche. Puis elle me touchea l'entrejambe faisant mine de de voler ma bourse et s'en allat.

Lundi.

Florence devait venir à 3 heures, c'est à dire maintenant. Je piétinnais dans mon appartement. Je l'avais lavé et préparé pour qu'elle puisse venir une semaine chez moi comme convenu. Je m'impatientais. Au fur et à mesure que le temps passait mon adrénaline montait. Se fichait elle de moi? S'était elle perdue? Avait elle eu un problème? Elle devait en effet reprendre des affaires chez son ex ce qui faisait d'elle une proie facile pour lui d'autant plus que je le trouvais plus beau et plus assuré que moi (bon il avait 15 ans de plus aussi...). La pression dans ma cage thoracique augmentait, une douleure lancinante me comprimait le coeur. L'exitation fit place à l'énervement et fit place à la rage. Je me suis dirigé vers une vidéthèque et je louai le DVD le dinner de con à l'ancienne DVD othèque de la rue des Croisier à Namur. Le temps était mangifique mais je ne l'avais pas remarqué. Je me sentais blessé. Poussé par l'énergie libérée par la rage je courrai pendant l'allez et le retour. Enfin chez moi je commençai à regadre le film, sans l'apprécier de manière aucune quand le téléphonne sonna. Mon sang ne fit qu'un tour, c'était elle. Ma rage et mon désespoir se sont en une coup tourné en bonheur total et en orgasme cérébral. ELle était là!!! L'objet de mes désirs les plus fous avait atteint la gare de Namur et m'attendait patiemment. Je m'élança avec toute l'énergie du désir vers cette garde, mais je pris garde de ralentir le pas pour marcher nolonchamment vers elle, je la vis. Elle était assise sur les ilôts centraux de la route. La commune avait planté des fleurs dans ces ilôts rectangulaires, où entre ceux-ci se trouve la bouche intermédiaire de sortie de la gare de Namur. Elle était donc assise là, lisant un livre. Je l'observai d'abord. Puis je l'abordai. Elle était toujours en tenue mauve-fushia composée d'un pantalon et d'un débardeur très amples avec énormément de sacs. Elle avait toujours ses bracellets scintillants, de grande boucles d'oreilles argentées, losangiques avec de plus petites boucles qui pendaient aux deux faces inférieures de ce losange. Elle marchait d'une démarche provoquante avec un grand sourire. Je voyais qu'elle était heuse d'être là avec moi. Les hommes se retournaient sur son passage tellement elle était belle mais aussi parcequ'elle avait des vêtements provoquants. Elle était tellement belle... Je lui ai proposé de regardé le DVD que j'avais loué pour qu'elle puisse se reposer du voyage. Bien sûr elle accepta.
Ensuite, nous avons étés dînner au Passé Simple, un petit restaurant sur la place du marché aux légumes pas cher et néanmoins acceptable. Je l'ai ensuite fait visiter la citadelle. Je savais bien que n'était pas très original mais j'aime profondément cet endroit et j'ai du mal à en trouver un aussi romantique d'autant plus que je savais qu'elle n'était pas de la région (moi ça ne faisait qu'un an que j'étais là bas mais je connaissais déjà tout les bon plans... ;-) ). C'est là que je lui ai montré la ville d'en haut. Je voulais l'embrasser mais je n'ai pas osé alors nous sommes redescendus par les escaliers. Je lui proposai mon bras, elle reffusa. C'est alors que le destin est intervenu en ma faveur et elle trébucha et elle faillit tomber. Et c'est là qu'elle accepta mon bras. Cette descente des escalier était très sensuelle car à chaque marche son bras effleurait le mien. Et à chaque fois la prise changeait de conformation parfois pour s'enrouler un peu plus, parfois pour s'effleurer. Une fois en bas, je lui lachai le bras pour lui faire comprendre que c'était simplement pour l'aider à descendre.

Ensuite nous sommes retournés chez moi. Je l'ai installé sur le lit que je lui avais monté (ce bon vieux canapé lit aura quand même bien servi... ;-)) . Puis nous avons un peu dicuté. Quand j'ai éteint les lumières je lui ai parlé des étoiles. Puis elle a dit qu'elle avait peur des arraignées. Je lui ai dit que chez moi il y avait beaucoup d'arraignées sauteuses. Elle était coucheée sur le lit. Tandis que moi je me suis mis à faire l'araignée, en caleçon amériquain, bougeant latéralement. Puis le lui ai demandé ce que les arraignées faisaient chez moi et avant qu'elle puisse répondre j'ai sauté à côté d'elle. Elle n'avait pas bougé mais s'est légèrement retrourné vers moi. Je lui ai caressé le visage. Nous nous sommes regardés puis nous nous sommes embrassés vigoureusement. Nous avons continué à nous embrassé nous roulions de part et d'autre du lit mettant à mal parfois la stabilité de celui-ci. J'écarté la couverture et je l'embrassai dans le cou. Elle frémissait de plaisir, son cou en hyperextention, elle m'agrippait l'arrière des cheveux. Je parcourais librement mes mains sur son corps, ensuite je me suis mis à sucer son nombril, à le titiller avec ma langue pendant qu'elle me carraissait le cuir chevelu. Je lui abaissé le dessus de sa robe, et commençai à lècher sa poitrine au travers de son soutien gorge. Ses mains parcouraient mes joues avec une passions que je n'avais jamais vue auparavant. Après quelques minutes je me redirigeai vers sa bouche couleur cerise. Son sourire me faisait l'effet de l'éclat du soleil d'été m'éveillant dans une douce chaleur appaisante. Je l'embrassai farouchement. Je ne voulais plus faire qu'un avec elle. Mon esprit était predu dans le sien. Je bouillonnais à l'intérieur de moi même. Je redecendis, lui enlevai son pantalon et me dirigeai vers sa caverne parfumée. Je respirais ses hormones. La liqueur qui s'en échapait était comparable à une sève chaude, sucrée et moelleuse. Au fur et à mesure des mouvements horizontaux et verticaux de ma langue, son corps vigrait de plaisir. Elle me prit vigoureusement les mains, qui elles étaient situées à la face antérieures de ces cuisses. Mes mouvements s'accéléraient sa respiration devenait plus brulantes, les souffles devinrent murmures, les murmures se muaient en gémissement, pour ensuite aboutir à des cris frénétiques accompagnant son corps qui dans un mouvement vertical devenait de plus en plus intenses. Et d'un coup. Son corps se tedit, ses ongles rentraient dans ma chair. Ses petits pieds et sa nuque supprotaient la totalité du poids ce son corps pendant cette instant magique. Elle laissa échapper un cri majestueux. Ce moment était beau. Lentement elle se laissa retomber et je montai sur elle pour l'embrasser, mon visage encore luisant du liquide divin. Elle me souriait d'une façon telle que je ne pouvais m'empècher de ressentir une parcelle de ce qu'elle avait ressenti. Une vague chaude emplit mon corps et mon appendice qui s'était raidi depuis quelque jours. Elle me prit par les épaules, me retourna et me grimpa dessus telle une amazone sur son cheval en quête d'un proie. Elle prit mon membre en tuméfaction intense et l'introduit dans le nid que j'avais préparé. Une sensation de perfection aqueuse et chaude résonnait dans mon corps. Tel une épée glissée dans un foureau doux et tendre. Jusqu'à cet instant je pensais que la perfection n'éxistait pas. Un mouvement de va et viens s'amorça. Je sentais ses cuisses glisser sur les miennes, d'une façon sèche au début puis d'une façon lubrifiée par la suite. Tel des mains savonées sur un corps ruissellant, ses cuisses avançaient et reculaient au rythme de mes hanches qui bougeaient. Je saisis ses fesses pour prolonger et renforcer les mouvementes de son bassin. Elle halletait de plus en plus, Je sentais que moi aussi je n'allais pas tenir très longtemps. Son mouvement s'accélérais, le moment inéluctable arrivait. Tout d'un coup un cri émana de sa bouche, elle rugissait de plaisir pendait que je sentais un brusque resserement autour de mon membre. Je sentis un ensemble de décharges parcourir mon corps, venant du bas de mon corps et électrisant la moindre particule de mon corps. Je perdis conscience quelques fractions de seconde puis quand je réouvris les yeux elle était couchée le long de mon corps, souriante, et me carressant le ventre.

Après, c'est une autre histoire...

;-)


Re: La 1e fois

Lazarus

Lazarus

04-06-04 à 00:11

très beau texte, vraiment


Lien croisé

Anonyme

06-10-08 à 12:31

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